mardi 24 septembre 2013

LE BREBIS TROUVE JPPS PLUS BETE ET PLUS MECHANT QUE L'ABBE TYMON DE QUIMONTE...

Pauvre Brebis ! 

 
Honni par les pédés, dénoncé par les FM, menacé par les juifs, et décrié par l'Abbé.
 
Qu'a-t-il fait ?
Considérez son étonnement :  il écrit avec ses sabots crottés, et c'est le Ronsard du 21 ème siècle qui lui répond. 
 
L'Abbé en serait-il à faire le geste moutonnier de la Quenelle  ou gobe-t-il les sottises, payantes en onces d'or, et l'utilité des sac à dos de Piero Falotti ?
 
Non ! C'est tout juste bon pour les ânes.
L'Abbé se rend-t-il compte
de la faiblesse physique et cérébrale extrême de l'Ovidé, qui a le don de l'irriter, 
et auquel il s'attaque  en l'assommant, de manière si  âpre et virile ?
Même les musulmans d'E & R le saigneraient s'ils le tenaient, ce breton galeux,  entre leurs mains expertes.
 Merci l'Abbé,
qui nous fait accessoirement penser, en tellement moins "très bête et très méchant",  à Jean-Pierre du "Café Philo de Droite" qui prend un bien vilain plaisir à nous assassiner, Always By Courtesy, of Course.
  D'un côté, JP surveille ce que Brebis dit du lobby juif,
  de l'autre,  Félix L'Abbé, un seigneur, ce que l'ovidé émet, sans doute d'idiot et d'insensé, au sujet de Soral, dont l'Abbé est une espèce du garde-fol et de garde du corps.
  Finalement, pédés et franc-macs, désormais, le laissent tranquille, se disant :  "qu'il cause dans son coin ce vieux fada, qui le lit, qui le croit ? " Personne, et ils n'ont pas tort.



"Ma plus belle Rupture d'Amour, c'est Lui"** * Formule de politesse lancée par LBG.
**un peu exagéré et emphatique.
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mardi 24 septembre 2013

Onctions sur une gale.

Le Brebis ayant brouté aimablement notre petit brocard d'hier, j'avions décidé de réactualiser ce factum, plus factieux qu'il ne semble, toujours d'actualité.
 

On l'aura remarqué nous avons été contraint d'enlever hors notre espace vital sur l’étroite cime, acérée, notre unique et mâle Brebis. 

Je ne puis décemment, même une cervelle bêlante le comprendra, être d’E&R et placer en mes liens amicaux un de ces pénultièmes site anti-soral que nos penseurs ergotant et égrotants font pulluler et s’épanouir comme des chancres indurés sur un prépuce à vif, et gonflés de venin laisser sur la Toile leurs traces de pus. 

Et de la part de Le Gall c’est un camouflet directement porté sur mon front blême à la veine saillante, ulcéré jusqu'aux ailes déployées du nasal par milles infloraisons éthyliques comme des filaments irisant la nacre de conchyoline et de carbonate de ma face maudite, car il insistait toujours pour en être, de mes liens. 

D’ailleurs pour une fois, la vieille bique ubiquitaire ne nous a pas fait un fromage de brebis.
Avec une promptitude foudroyante qui laisse admiratif (preuve qu’elle était à l’affût la gentille bébête à poil l‘haineux ), à peine l’avions nous débarqué qu’elle nous a fait l’honneur de nous délier illico presto de ses accolures à elle, avec leurs proximités douteuses. Honneur certainement, car tout le monde s’y prélasse, dans ses liens. On y est plutôt en mauvaise compagnie. On reconnaitra bientôt les gens de bien à ce qu’ils n’y figurent pas.
Ainsi elle nous aura rendu un bien pour un mal, preuve qu'elle n'est pas rancunière.

Je ne dis pas non plus que l’anti-soralisme définit le Blog de notre amis gallois, mais enfin il y est avéré. Tant pis.
Car nous l’aimions bien avec son verbe clair et son sens de la formule, nous riions de bon cœur de la voir gambader partout, son ubiquité nous ravissait, on ne pouvait cliquer quelque part sans la voir sauter comme un cabri ! Comme elle est sociable, et peu farouche : comme elle aime à se faire de nouveaux amis ! Avoir beaucoup d’amis est un idéal de boutiquier dit (a peu près) Montherlant, qui ajoute « se faire des ennemis une activité d’aristocrate. »
Cette Boutique c'est l'hénaurme famille de la fâcheuse « fachosphère », de plus en plus facho et de plus en plus sphère, quelle rondelle ! Comme on s’y tient bien les coudes, sur la table, devant le petit pécé.

Mais nous, vieux rimbaldien « Familles je vous hais », et Abbé encré d’encratisme, nous n’aimons pas les Familles, nous vomissons toute espèce de familiarité, de copinage et d’esprit de famille.
C’est, n‘en doutons pas, dans la pression de cette foule innombrable que gît l’explication ultime de l’anti-soralisme de la Brebis. Car on y est grégaire et bêlant de conserve chez ces redoutables moutons noirs du Pécé. Cracher sur Soral y est le signe de ralliement obligé, le signe élusif qui marque au fer-chaud les petits culs-culs rosés et rassis de ces futurs gigots.
  Que de talents ! Que d’écrivaines ! Ça épate ma concierge !
Ainsi l'on entend aboyer contre l'Ego de Soral, ceux dont l'égo sera toujours trop immense pour accepter la plus infime Discipline.
Pour moi, n'ayant plus depuis belle lurette la superstition du "libre-arbitre", j'ai au contraire la nostalgie d'un Ordre de fer où l'on obéit perinde ad cadaver, et trouve E&R trop laxiste. Croyez vous, nains microcéphales, que le Régime dont vous portez la nostalgie, soit arrivé au pouvoir en pinaillant ?

Orfeenix m'écrit qu'elle regrettait que j'ai retiré cet aimable petit Goodbye à la belle Brebis. Voilà qui est réparé.
J’ai balancé par dépit des malentendus, les Bêlants ne comprenant rien à rien, je craignais qu’il me faille (géologique) tout expliquer, défendre E&R, et tout ça m’emmerde à des hauteurs incalculables.  
Avant toutes lunules arabiques qui hérissent la peau de Bique, E&R réconcilie la 'gauche' et la 'droite'. C’est le seul mouvement 'rouge-brun' réellement existant pour causer comme dans l’imMonde. En Soral avant toute autre considération, dans ce camp, j’ai vu un homme capable d’en entraîner d’autres, plus jeunes, et me démontrerait-on que dans la vie privée c’est un jean-foutre (ce qui n’est pas le cas), c’est un véritable meneur d'hommes, montrez m’en un autre, un seul autre, je vous prie ? 

De plus, contrairement à sa réputation de baboucholâtre, ne suis-je par ma liberté de ton, ici même et dans mes opus, la preuve écrivante de l’inanité de cette accusation ?  Soral ne me laisse-t-il du champ lexical, comme on dit chez 'Israël-Sous-culture' ?
N'a-t-il pas laisser paraître "Arabesque". Lisez si m'en croyez!
Sans parler de ma  "tendance O si franche, à nier", à la fois extrêmement « identitaire » et très « zanarchiste », qui radicalise l'idée d'alliance de la gaugoche du boulot et la droâte des valeurs boursières en un nihilisme dont je suis l'unique porte-parole, et auquel personne, et moi le premier, ne comprend rien.

Car E&R, selon le vœu de son chef bien aimé, est métapolitique et transcourant.  Ces courants ultramarins je pourrais en dire au moins sept ! 

1. Le Dieudonnisme qui est un gauchisme tiers-mondiste, Carlos et Yacht People, à peine tempéré par le gros rire.
- Le FrankAbêtisme qui est un ultracisme aggravé par l’embonpoint.
- Le Gallo-coranisme qui un mahométisme adouci par l’amour filial pour la France métisse. 
- Le Dupont-gagnantisme qui est un gâtisme relevé par l’Honneur.
- Le survivalisme qui est un pessimisme avec la bosse du commerce.
- L’alcoolisme qui est un fameux coup de Sanguis Terra rafraichi à l'ombre des côtes de Nuit.
- Et même le petit-félixisme, dont l’existentialisme n’est pas du tout, mais pas du tout, un humanisme.

L’installation de l'Islam officiel en terre de France ? 
Mais cela fait sangloter le chœur des anges, et je n’ai pas attendu les rodomontades de petits teigneux pour le dire, et bien avant eux ! Encore faut-il, derrière les sept cieux des croyancieux, deviner les arrières plans ténébreux.
Assez sur ce sujet.

Irons nous encore dans les alpages, braver les soldes La Redoute, pour tenter de la lire notre Brebis, dont, nous l’avons dit, nous apprécions l'art redoutable des courtes saillies ?
Certainement. 

En attendant, n'étant l’abbé et moi-même, de ceux qui broutent dans les enclos délimités, nous le laisserons paître tranquillement sous les jupes de ses 'femmes intellectuelles' qu'il révère tant. 

Le poète en moi, et le prêtre en l'Abbé savent bien que ces considérations devraient être secondaires, voire quaternaires, eu égard à l’attraction céleste des esprits, mais hélas, trois fois hélas, dehors c’est la vraie guerre, et nous autres terrestres d’E&R, nous la faisons vraiment.
Du coup nous revenons parfois avec les mains sales, cela a toujours donné la nausée aux belles âmes juvéniles éprises d'idéal.
Nihil novi sub sole. 
 
 
félix le chat

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