vendredi 7 juin 2013

HERVE RYSSEN N'AIME PAS BEAUCOUP JEAN ROBIN, NI GUY SORMAN, -MOI NON PLUS !

Notre milieu est contaminé




Un petit publiciste comme ce Jean Robin, par exemple (l’auteur de la Judéomanie), a ses entrées à radio Courtoisie, où la porte lui est grande ouverte.
 Il y a été invité de nombreuses fois dans les émissions animées par Yves-MarieLaulan, Gérard Marin et Paul-Marie Coûteaux. 

Car ce Jean Robin est aussi éditeur, ce qui lui permet de faire sa publicité sur la radio à intervalle régulier pour y présenter sa production, qui se situe dans la ligne de la droite néo-conservatrice “à la Sarkozy”. 

Dans un entretien vidéo, Jean Robin le déclare très explicitement : « Je ne suis pas contre l’immigration. Par contre, je vois plus dans l’islam un problème. »




 Voyez encore ce qu’il écrit dans sa brochure intitulée "La nouvelle extrême-droite" (septembre 2009) : « La diversité et le métissage ne sont pas un problème en soi, au contraire ils sont plutôt les gages d’une richesse et d’une intelligence supérieure. »


Jean Robin, qui ne cache pas sa judéité, prétend délivrer les musulmans du mal qui les étreint. Écoutez cela : « Les musulmans sont les premières victimes de l’islam… Ils sont prisonniers à la fois d’une idéologie rétrograde, d’extrême-droite et totalitaire, et de ses gardiens. »



On a déjà entendu ce propos chez l’économiste libéral Guy Sorman, qui entend lui aussi “libérer” les musulmans, comme d’autres ont “libéré” Bagdad et aimeraient bien “libérer” Téhéran : « Le monde musulman, écrit Sorman, est victime de la dictature des clercs : oulémas, ayatollahs et autres imams. C’est en se débarrassant de cette cléricature que les musulmans renoueraient avec leurs propres racines. » (Le Bonheur français, Fayard, 1995, pp. 123)

Et Guy Sorman n’hésite pas à donner des cours de théologie à ces pauvres gardiens de chèvres : « Les intégristes, qui confondent le voile et l’islam, sont de piètres musulmans ; ils ont mal lu le Coran. » (page 132).

 On reconnaît ici toute la “houtzpah » (prononcez “routzpah”, en raclant le “r”), c’est-à-dire ce culot à toute épreuve propres aux intellectuels juifs.

 Il est certain, en tout cas, que Daniel Cohn-Bendit, Jean Robin et Guy Sorman connaissent bien la Torah et le Talmud. 

Ce qui est formidable, c’est de retrouver Jean Robin à la journée du livre de Renaissance catholique et à la “fête de la Courtoisie”. C’est toujours un plaisir !

Hervé Ryssen

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