mardi 12 mars 2013

ALLAH AKBAR -EN FRANCAIS = "ANTIFA" !



Le jeune homme a été cru mort par de nombreux témoins du fait de son état après l’agression.
« Anthony qui s’est fait poignarder dans le dos par une bande de quinze lâches antifas a survécu à ses blessures. Les témoins horrifiés par l’importante flaque de sang l’ont cru mort. » déclare le communiqué de TV.

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Un jeune homme de moins de 20ans prénommé Anthony, membre du mouvement solidariste « Troisième Voie » a été tué à Argelès Gazost dans les Hautes-Pyrénées (65).


Nancy-rassemblement-antifascite
Manifestation « antifa » à Nancy

Selon des sources proches de la victime, ses agresseurs étaient environ une quinzaine d’individus qui ont poignardé dans le dos la victime accompagnée d’un ami.
Serge Ayoub, le leader du mouvement nationaliste-révolutionnaire/solidariste « Troisième Voie », a exprimé au nom de ses partisans ses « plus profondes et sincères condoléances ».

Les agresseurs auraient revendiqué leur acte par le cri ...d’ « antifa ».

Les militants « Antifas » ou « antifascistes » sont peu connus dans le milieu libéral, sauf pour les yuppies qui sont familiers, pour des raisons professionnelles, des  financements par certains milliardaires de ce type de mouvances.

Des créations qui ont essentiellement pour fonction de s’attaquer à des cibles précises, par un marketing ciblé sur la jeunesse, mais au sein d’une stratégie plus globale dont les groupements n’ont en principe pas conscience.

Le plus connu et surtout le plus assumé de ces milliardaires est George Soros et son Open Society Foundation, qui finance – dans une contradiction totale expliquée par cette stratégie – les révolutions colorées à l’Est, des mouvements libertaires et antifas en Europe, et en même temps des campagnes d’associations religieuses favorables au voile islamique en France.

Les « antifas » ou « redskins » n’ont jamais fait parlé d’eux en dehors de milieux confidentiels.
 Ils sont connus pour avoir produit un « documentaire », à défaut d’avoir intéressé les journalistes, qui consiste à raconter des anecdotes urbaines des années 80 invérifiables et basées sur leur bonne foi.

 Cette autoproduction a entraîné une réponse des skinheads des années 80 qui estiment ce film truffé « d’absurdités ».

Pas sûre qu’un assassinat à 15 contre 1, dans le dos de la victime, puisse changer quelque chose à ce manque de reconnaissance.

(dtom.fr)
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